28 décembre 2008

Tipiak !


Hey ! Bande d’ivrognes préférée de le Moa !
Avec cette fin d’année qui approche, les bouteilles que l’on rêve de vider ( eh voui, tout le monde n’a pas continuellement la tête dans la barrique ! ) et les choses que nous désirons mettre au clair afin de ne pas s’embourber le céloantropolophage inutilement, laisse moa te parler de piraterie…

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N’as-tu point toujours rêver de faire partie d’un équipage d’infâmes brigands, prêts à tout pour conquérir le monde minus, en passant par péter les dents à des moussaillons impertinents et à piller les ignares dans des tavernes crasseuses même pas tenues par des déesses incandescentes ?

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Eh bien, si tel est le cas, je t’attend de pied ferme ! Ou plutôt devrais-je dire, la Capitaine Bereth t’attend de pied ferme dans ce jeu qui demande moins de présence qu’un World Of Warcraft et qui met en scène des pirates bien entendu !


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Si tu as un coup de folie, si tu a envie de rejoindre l’aventure et de devenir un des membres les plus glorieux et les plus nobles qui peuplent la terre de zepiratland, viens à mes côtés petit petit petit…
Je n’attend plus que toa.

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Et si jamais tu n’en as point envie… et bien… il ne me restera plus qu’à recruter chez des inconnus, et peut-être à me tromper de nouveau…

24 décembre 2008

Reveillon de Gigolo


Cela date des jours célébrant Auguste que je sais comment te souhaiter de Noyeuses Fêtes, Ô Adoré !


Mais si, par un hasard malencontreux, tu restes ici dans la nuit, enfermes-Toa à clef.


Conseil d'amie...
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Et Joyeux Noyel !!!!

23 décembre 2008

Piano

Puisque dans chaque histoire se cache une histoire d'amour ;
Puisque dans chaque histoire, Eros ou le Joufflu dirigent les événements...
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Piano - And Then Love Came par *xlizx


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La bataille avait été rude, beaucoup trop rude pour un énième affrontement avec ces impies de rebelles anarchistes. Non pas que l’équipage trouvât que le gouvernement en place valait la peine d’être défendu, mais il suffisait de voir la rente que celui-ci octroyait aux chasseurs de prime intermittents pour vouloir se lancer dans les « purges » officielles ordonnées par le jeune Empereur.
Néanmoins, cette dernière offensive avait bien failli coûter la vie du Capitaine Eloa ; faute de quoi elle lui avait coûté son bâtiment. La moitié de ses hommes avaient péri sous les armes enragées des pillards, tandis qu’elle fuyait avec le reste, lambeaux déchirés de sa réputation, de l’escouade. Dégradée plus moralement que physiquement, elle avait imploré l’aide du Baladin, dirigé par l’extravagant Capitaine Sylla. Cette prière avait achevé la jeune femme ; elle qui ne supportait pas l’échec, devoir quémander, supplier le Baladin de les accueillir engendrait l’humiliation suprême.
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Le Capitaine Sylla était connu pour son excentricité et sa témérité. On disait de lui qu’il jubilait à l’idée d’accompagner les rebelles vers la Mort sur une ritournelle jouée au piano. Alors que tous y voyaient un penchant morbide, lui y distinguait de la poésie. Gaïa Eloa comprenait surtout qu’elle pénétrait dans le repaire d’un fou furieux misogyne impitoyable, et singulièrement imprévisible. Mais ce qui la contrariait par-dessus tout, c’est que Cornélus Sylla et elle étaient en compétition depuis le début du coup d’Etat qui engendra l’émergence de l’Empire. Après une partie de cartes fortement arrosée et une violente querelle d’ivrognes, ils avaient parié sur leur grandeur respective et future, sur leur magnificence militaire et populaire à venir, sur leur majesté incontestable.
Essuyer un pareil échec était déjà méprisable, mais qu’il en soit témoin, pire encore, qu’il devienne sauveur, était carrément intolérable !
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« Le Cap’taine est occupé, mam’zelle ! Si tu veux le voir, tu attendras l’heure du dîner. »
Interloquée par autant de familiarité, Gaïa toisa durement le matelot qui gardait la porte de la cabine. Mais avant qu’elle ait pu remettre en place ce jeune importun, Brac’k, son second et fidèle ami, le menaçait déjà en le plaquant contre le mur. « Vermine. Es-tu idiot ou tout simplement débile ? Manquer aussi ouvertement de respect à un supérieur hiérarchique peut être puni de supplices intenses… Tu devrais le savoir, étant donné que ton capitaine…
- Je crains qu’en ayant perdu ton bâtiment, tu aies aussi perdu ton titre… Gaïa ! »
Bien qu’il était deux fois moins épais que le second, il ne fut nullement impressionné par les intimidations du guerrier ; il avait prononcé ces mots avec une délectation évidente, un sourire narquois étirant ses lèvres. Acceptant la remarque, le Capitaine Eloa se contenta de fixer le matelot du Baladin, avant de pénétrer dans la cabine, sanctuaire feutré et harmonieux, de Cornélus, duquel s’échappaient de violents accords, mélodies barbares mais envoutantes, du mythique piano qui avait damné tant d’âmes…
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La pièce était petite, mais merveilleusement décorée. De trophées, de cartes, de tentures, d’armes, de bouteilles plus ou moins vides. Il tournait le dos à la porte. Mais cela ne l’avait guère empêché de savoir qui avait osé entrer dans son domaine.
« Capitaine Amour ! Quel bon vent t’amène ? »
Elle sourit, et s’adossa nonchalamment contre le mur, encore étonnée par son incroyable capacité à ne jamais se faire surprendre. Il ne se retourna pas, ni ne s’arrêta de jouer.
« Je suis venue recevoir tes remarques désobligeantes. Afin de t’éviter de te donner en spectacle ce soir ; bien que je sache pertinemment que le théâtre fait partie de tes prérogatives… »
Cette fois, il se retourna, amusé. « Tu n’en as pas eu assez ? Mon équipage ne vous a-t-il pas noyé sous les railleries ?
- Ils ne t’arrivent pas à la cheville… »
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Un bruit sourd cogna contre la paroi. Cornélus Sylla eut un instant de doute surpris.
« Ce doit être Brac’k. Il doit être en train d’enseigner à ton mousse comment s’adresser à un supérieur. »
Cornélus opina du chef, l’air rassuré. Décidément, il était vraiment insensible.
« Il t’aime beaucoup, ce Brac’k, je me trompe ?
- Tu sais qu’il pourrait le tuer…
- Qui ne tuerait pas pour toi, ô Calypso ? »
Sur quoi il se leva, et glissa tel un serpent vers la jeune femme. Il l’enlaça de son bras gauche tandis que le droit l’entraina doucement mais fermement vers l’instrument tant redouté. « Ce n’est pas de railleries dont tu as besoin, c’est d’une attention masculine. La guerre a durci tes traits et fortifié tes ambitions. Tu n’en restes pas moins irrésistible, Gaïa. »
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Elle se retrouva coincé entre le piano et le capitaine le plus séduisant et le plus désiré du monde des mercenaires. Certes, nier qu’elle n’avait jamais désiré ce moment serait un mensonge. Mais c’était il y a longtemps, quand ils venaient de commencer dans le métier, quand ils se cherchaient encore… Désormais, elle le connaissait trop bien pour prendre cette invitation comme une marque d’appétit personnel. Quand il s’approcha pour l’embrasser, elle lui plaqua une main sur la bouche. « Tu convoites toujours ce qui n’est pas à ta hauteur, mon biquet. Ma défaite ne m’abaissera pas à cela.
- Je t’ai connu plus désinvolte, amour. Tu devrais savoir qu’on ne me résiste pas. » Cornélus Sylla se fit alors plus violent, maintenant la jeune femme plus rudement afin de lui soumettre comme il se doit ses hommages. Ce n’était rien de plus qu’un jeu. Une nouvelle lutte. Un énième affrontement entre deux éternels enfants ne pouvant se permettre de perdre un pari stupide. L’excitation du duel les gagna rapidement. Dans leurs regards, provocants, inlassablement braqués sur l’autre ; dans leurs souffles saccadés ; dans leur poigne féroce, l’on ne pouvait discerner leurs intentions, sans cesse tiraillés entre l’attirance et la répulsion. Bien que l’amusement de ces retrouvailles se lisait dans leurs yeux, il n’en restait pas moins une part d’ombre et d'insoumission.
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Finalement, Gaïa repoussa farouchement son adversaire jusqu’à le plaquer contre le mur. Là, elle entama une danse ondulante, lascive et provocante où Cornélus perdit pied… et méfiance. Elle profita de ce petit moment d’égarement pour lui pointer une dague sous le menton. Sa main libre, qui se promenait divinement mais dangereusement du côté de sa virilité était une menace que le Capitaine Sylla craignait plus que la dague.
Elle s’approcha de son oreille, et dans un souffle, elle lui susurra quelques mots. « Aucun homme ne décidera plus quoi faire de ma personne… Et si pour te le faire comprendre je dois te résister, ou même te dominer, je le ferais… »
Cela, il le savait bien ! Ce n’était pas le moment de mettre sa parole en doute.
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Elle s’éloigna alors, le regard toujours planté dans celui de son éternel ennemi. Étrange mélange entre invitation et menace. Il la laissa s’en aller, comprenant que ce qu’il aimait chez le Capitaine Eloa, c’était son insubordination. Il la contempla, mutine et orgueilleuse, et se rendit compte que son désir pour elle n’avait jamais atteint cette intensité, depuis qu‘elle avait gagné cette assurance arrogante.
Il s’amusa un instant de sa passion, et se fixa un nouveau but. Non pas la posséder, mais la combler.
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Lorsqu’elle ouvrit la porte, Cornélus distingua le passage éclair de son mousse, suivit de peu par le colosse Brac’k. Un bruit sourd plus tard, le jeune moussaillon du Baladin suppliait, en pleurs, qu’on lui pardonne ses affronts. Gaïa afficha un large sourire, avant de se précipiter hors du champs de vision du Capitaine Sylla.
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Oui, la combler…
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18 décembre 2008

Reflexe Joufflaire


Templer & Engel par Eva Wildermann
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Habituellement, on s'illusionne quant aux effets prodigués par le Joufflu. On se dit à la première occasion qu'il nous a touché, ce con, avec sa flèche tordue [ ou de tordu ?... ], on espère qu'il nous a touché, parce que, il est bien connu que l'Homme n'est pas fait pour vivre dans la solitude.

On se complait dans ce mensonge...
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Pourquoi ?
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Mais parce qu'on ne connait les véritables bienfaits du Joufflu que lorsqu'on est sur le point de perdre l'objet empalé par ses soins...

14 décembre 2008

V pour Vendetta


« Voilà ! Vois en moi l'image d'un humble vétéran de vaudeville, distribuée vicieusement dans les rôles de victime et de vilain par les vicissitudes de la vie. Ce visage, plus qu'un vil vernis de vanité, est un vestige de la vox populi aujourd'hui vacante, évanouie. Cependant, cette vaillante visite d'une vexation passée se retrouve vivifiée et a fait vœu de vaincre cette vénale et virulente vermine vantant le vice et versant dans la vicieusement violente et vorace violation de la volition. Un seul verdict : la vengeance. Une vendetta telle une offrande votive mais pas en vain car sa valeur et sa véracité viendront un jour faire valoir le vigilant et le vertueux. En vérité, ce velouté de verbiage vire vraiment au verbeux alors laisse-moi simplement ajouter que c'est un véritable honneur que de te rencontrer. Appelle-moi V. »
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Telle est l’auto-présentation que s’offre ce vengeur masqué à la Batman en torse latexxxé mais en un peu moins bien foutu quand même. Quand quel film ? V pour Vendetta pardi !
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Long métrage quelque peu politco-désespéro avec des armes qui tranchent, des politiciens corrompus et des explosions symboliques en forme de feu d’artifice. Si le monde dépeint fait peur, il n'en reste pas moins crédible, et en plus de ça, il correspond à ce que j’aime et à ce que je défends tout en le détestant… Curieux n’est-il pas ? C’est parce qu’il s’agit d’une société ultra-contrôlée avec quelques étendards ressemblant trop étrangement à celui reprit par un bonhomme à moustache, désireuse de soumettre les hommes et tout ce qui s’en suit. Habituellement, j’évite de me frotter à un trop plein de politique, parce que mon côté blonde ressort et que je comprend pas toujours tout ce qui se dit ou se passe. Mais quand on oppose l’Art au Pouvoir, quand on confronte l’oppression à l’espoir, quand on associe l’humanité face à une forme de folie destructrice qu’est la haute sphère de la société, moa je trouve ça bô. Et j’applaudis.
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Il serait fastueux et même vain d’essayer de résumer les faits : ce film est bien trop dense.
Et si le héros masqué et révolutionnaire a cessé de tenter de discuter avec les dirigeants du monde afin de lui soumettre ses craintes, si ses actes sont extrêmes (je n’ai pas dit « extrémistes », mais la question mérite d‘être posée…) il a au moins le mérite d’agir, alors que les autres se sont résignés, trop faibles ou trop peureux… Ou trop fatalistes
Avant tout passionné, il se bat pour un idéal. Avant tout Victime, il se bat pour une amélioration.
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Lucide ou bien complètement aveuglé par la souffrance ? Qu’importe, quand on voit qu’un seul homme pensant peut bouleverser bien plus que choses qu’une masse armée de lapins blancs…
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L’insoumission, Tendre Hôte…
Ou la beauté d’une idée.
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Puisque peu importe le visage, peu importe le nom ; une idée, un idéal se véhicule à travers le temps et l’espace, et ses dégâts potentiels devraient faire frémir ce socle manipulateur et mensonger qui te sert de structure quotidienne.
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Pour finir, je te met un extrait de la très belle lettre de Valérie, une jeune femme qui a osé assumer son homosexualité, ce qui lui a valut torture et mise à mort.
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« Je me souviens de quand différent devint synonyme de dangereux.
Je n'ai toujours pas compris pourquoi ils nous haïssaient autant. Ils ont rafflé Ruth alors qu'elle faisait les courses. Je n'ai jamais autant pleuré de mon existence. Peu de temps après, c'était mon tour. Il est difficile de concevoir que c'est dans un si terrible endroit que mon cœur va s'arrêter, mais durant trois ans, j'ai eu des roses à mes côtés sans avoir à me justifier.
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Je vais mourir ici, et tout ce que je suis disparaîtra. Tout ou presque. Il restera mon intégrité. Cette force invisible qui coulait dans mes veines, et que personne au monde ne pourra m'enlever. Nous devons nous battre pour la protéger et la garder vivante pour l'éternité. Je vous souhaite, qui que vous soyez, de vous échapper de cet endroit. J'espère, qu'avec le temps, les choses se sont améliorées.
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Mais d'abord, et par-dessus tout, je veux que vous sachiez que, bien que je ne vous connaisse pas et ne vous connaîtrai jamais, que nous n'ayons partagé ni rire, ni larme, ni un baiser, je vous aime, de tout mon cœur, je vous aime. »

9 décembre 2008

Routes et Déroutes

auteur ???
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Vraiment étrange que ce Monde Parallèle
Pô pour rien en plus, qu'il se nomme parallèle...
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Tour à tour étonnant, intriguant, surprenant, joyeux et attachant, il n’en reste pas moins
dangereux. Et pourtant, nous l’arpentons sans crainte… Sommes-nous à ce point déments ? Ou simplement trop confiants ?
Ici, nous devenons qui nous voulons être… Tu crées un personnage que tu façonnes selon tes envies : un
personnage qui te ressembles, mais qui sans être tout à fait Toa, n’en reste pas moins Toa ; tu parles de tes désirs, de ton passé, de détails si petits qu’ils sont bien plus représentatifs de ce qui te constitue qu’un long discours tout bien construit et réfléchi.
Au final, on se livre plus qu’on ne croit… Ou qu'on veut...

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Et on rencontre des gens… Qui se rapprochent de ce petit univers que tu gères ou qui sont si différents que tu te demandes encore comment vous avez fait pour entrer en contact. Mais au final, on est là.

Toa et Moa.
Et on parle.
Et on rit.
Et on partage de ces moments délicieux certes virtuels mais qui ont un arrière-goût véridique… Un terrible arrière-goût.
Et si certains Hôtes nous livrent directement leur être, d’autres jouent la carte du mystère. Qu’à cela ne tienne, j’adÔreuh jouer aux cartes avec un énigmatique chevalier noir masqué !

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Assassin's in Darkness par legendg85

Et puis tenter de percer cette carapace devient un jeu de plus en plus attirant. Un jeu aux règles obscures, que tu n’es plus très sûr, au fil du temps, de vouloir gagner. Tout ce que tu veux, c’est garder ce contact, cordelette distendue et incroyablement incertaine
Et puis, tu t’attaches.
À ce mystère ambulant.
Tu imagines.
Tu joues le jeu.
Tu t’approches du FEU, au risque de te brûler, et le pire, c’est que tu aimes ça ! Dis donc, tu m’avais caché ça,
Hôte Masochiste !!!
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Tu ne sais pas trop ce dont tu étais venu cherché, au départ, tu ne le sais toujours pas d’ailleurs, au niveau relationnel je parle, mais tu le cherches. Et tu te contentes de ce que tu as, car c’est un aspect de l’autre,
trésor inestimable, que tu as sous les yeux.
Et puis tu t’attaches.
Tu ne sais pas très bien ce que tu cherches car tu sais très bien que cet état de dialogue ne durera pas
éternellement. L’Hôte que tu es ne restera toujours attablé, ivre et impoli, dans ces lieux improbables. L’Hôte, voguera un jour, seul, empruntera un chemin perpendiculaire au tien…
Il partira, sans dire au revoir.
Et pourtant, on espère…
On espère quoi ?… Un paradoxe. Une folie impensable, qu’on a eu la folie de penser.

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Bande de fous !
Mesquins personnages !
Tu t’es engagé dans un jeu des plus déplaisants, quand on y pense… T’y as pensé quand t’as signé ?
Je hais les humains...
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Et après, qu'on ne me demande pas comment que ça se fait-il que tout le monde associe le Joufflu à la Furie...


8 décembre 2008

Concerto Sans Histoire



Promis ! Un jour, je trèverais avec Chronos !
Et avec Orphée, tant qu'on y est...
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Sache seulement que nous risquons de reparler de la Conspiration des Lapins tantôt, puisque me voilà en possession de La Future Bible écrite par Vernor Vinge... Tu t'en souviens, Ô Hôte Ancien ! Je l'espère...
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En attendant ce jour béni et inespéré, je t'ai recruté quelques troubadours... Déjà connus, mais cela n'enlève rien à leur qualité, je pense, de coups de coeur...
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*** Anaïs ~ Peut-être une Angine ***

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*** Jason Mraz ~ I'm Yours ***

{ titre qui fait très vacances mais qui reste tout de même fort... attirant ! }

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Et puis, je t'ai laissé sur les tables quelques bouts de parchemins dorés... C'est pour que tu choisisses, selon tes envies, sur quel sujet devra porter l'Heure du Conte.

Le client est Roi. Profites-en ! Je ne le dirais pô souvent...